L𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐩𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐬𝐞𝐫𝐚𝐢𝐞𝐧𝐭-𝐢𝐥𝐬 𝐝é𝐜𝐡𝐚î𝐧é𝐬 ?
Ils étaient sur la piste d’attente.
Mais le jeu est arrivé à un niveau où il faut renforcer l’effectif.
Le temps, le seul arbitre, siffle.
Les maçons, vedettes de cette partie depuis qu’elle a débuté, sont appelés à laisser les devants pour un moment.
Pleins d’énergie, les charpentiers prennent d’assaut l’aire du jeu.
𝐀 𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐬’𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 ?
La charpente du temple Zangbéto et celle de la concession à l’arrière sont achevées. Elles n’attendent que l’arrivée des tuiles qu’elles revêtiront.
La salle de réunion en haut du Awanou (le portique qui donne accès au couvent) et le bâtiment afro-brésilien sont investis également par deux autres groupes de charpentiers. Ils y déploient sans relâche leur trop-plein d’énergie emmagasinée en piste d’attente.
De son côté, le chef d’orchestre (maître d’ouvrage) va-et-vient, contrôle, mesure, explique et ne cesse d’encourager ses artisans qui, incontestablement, sont rompus à la tâche.
Nous étions dimanche : deuxième « 𝐕𝐨𝐝𝐮𝐧 𝐙𝐚𝐧𝐠𝐛é » sur « Spécial éclosions urbaines »
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