Le long de la voie pavée du site, les tricycles et véhicules bâchés se succèdent, chargés de planches et de bois de coffrage. C’est avec des visages rayonnants de gaité que les coffreurs les déchargent au rythme des chansons populaires qu’ils fredonnent. Armés de crayons, mètres, marteaux et clous, ils scient les planches et habillent les structures en fer des poteaux et chaînages à couler plus tard par les maîtres maçons. Les corps d’ouvriers s’activent sans relâche. Ils assurent qu’ils finiront leur part de contrat sur ce site dans les délais.
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